Asclépiade Commune – Bio

Asclepias syriaca

4.19$

Cette belle herbacée indigène joue un rôle écologique de premier plan en attirant de nombreux insectes et animaux pollinisateurs, mais aussi des insectes prédateurs et parasitoïdes très utiles au jardin. Elle est aussi indispensable à la survie des papillons monarques. Depuis quelque temps, on la cultive pour sa soie utilisée comme rembourrage de douillettes et d’oreillers ou transformée en vêtements chauds repoussant l’humidité, en isolants thermiques et acoustiques et en matière absorbante après des déversements de pétrole.

On oublie cependant que l’asclépiade a aussi servi de nourriture et de plante médicinale aux peuples des Premières Nations, ainsi que de matériau de tissage et de fabrication de cordages.

En cuisine, la jeune pousse, les boutons floraux et les fruits sont comestibles une fois cuits. La cuisson doit être effectuée de façon à ce que la toxine contenue dans toutes les parties de la plante soit neutralisée. Une fiche d’information sur l’asclépiade comprenant les façons de l’apprêter est disponible sur le site du MAPAQ.

Plante médicinale reconnue et prisée depuis l’Antiquité, elle porte le nom du dieu grec de la médecine, Asclépios. Ses vertus sont nombreuses, mais elles sont surtout réputées dans le traitement des affections respiratoires comme l’asthme et la bronchite.

La stratification des semences de l’asclépiade est fortement recommandée ; il suffit de faire tremper les semences dans l’eau à la température de la pièce pendant 24 h puis de semer les graines dans un terreau humide et d’exposer les semis à une température de 4 °C pendant 3-4 semaines.

L’asclépiade commune atteint 1,5 m de hauteur et s’étale allègrement grâce à sa semence, mais aussi ses racines et rhizomes très étendus qui produisent des bourgeons ; il importe de lui trouver un endroit où elle ne deviendra pas une nuisance. Elle aime le plein soleil et s’installe facilement le long des routes ou dans les terrains en friche. Ses jolies ombelles de fleurs roses donnent des gousses en août. En séchant, ces gousses laissent échapper jusqu’à 150 graines, chacune accrochée à un fil soyeux.

Disponible à l’écoumène seulement

Cette belle herbacée indigène joue un rôle écologique de premier plan en attirant de nombreux insectes et animaux pollinisateurs, mais aussi des insectes prédateurs et parasitoïdes très utiles au jardin. Elle est aussi indispensable à la survie des papillons monarques. Depuis quelque temps, on la cultive pour sa soie utilisée comme rembourrage de douillettes et d’oreillers ou transformée en vêtements chauds repoussant l’humidité, en isolants thermiques et acoustiques et en matière absorbante après des déversements de pétrole.

On oublie cependant que l’asclépiade a aussi servi de nourriture et de plante médicinale aux peuples des Premières Nations, ainsi que de matériau de tissage et de fabrication de cordages.

En cuisine, la jeune pousse, les boutons floraux et les fruits sont comestibles une fois cuits. La cuisson doit être effectuée de façon à ce que la toxine contenue dans toutes les parties de la plante soit neutralisée. Une fiche d’information sur l’asclépiade comprenant les façons de l’apprêter est disponible sur le site du MAPAQ.

Plante médicinale reconnue et prisée depuis l’Antiquité, elle porte le nom du dieu grec de la médecine, Asclépios. Ses vertus sont nombreuses, mais elles sont surtout réputées dans le traitement des affections respiratoires comme l’asthme et la bronchite.

La stratification des semences de l’asclépiade est fortement recommandée ; il suffit de faire tremper les semences dans l’eau à la température de la pièce pendant 24 h puis de semer les graines dans un terreau humide et d’exposer les semis à une température de 4 °C pendant 3-4 semaines.

L’asclépiade commune atteint 1,5 m de hauteur et s’étale allègrement grâce à sa semence, mais aussi ses racines et rhizomes très étendus qui produisent des bourgeons ; il importe de lui trouver un endroit où elle ne deviendra pas une nuisance. Elle aime le plein soleil et s’installe facilement le long des routes ou dans les terrains en friche. Ses jolies ombelles de fleurs roses donnent des gousses en août. En séchant, ces gousses laissent échapper jusqu’à 150 graines, chacune accrochée à un fil soyeux.

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